Concours

Réalisation d’une extension du Tribunal Cantonal de Lausanne. Ce nouvel élément vitré agit comme un belvédère qui laisse découvrir plusieurs vues sur la ville, le lac et les Alpes. Une restructuration de la cour centrale permet d’apporter du confort aux usagers grâce à une végétalisation de l’espace.
Labellisation : Objectif Label SméO Energie + Environnement : Système pariétodynamique, puits canadiens, panneaux solaires, ITE, matériaux biosourcés, cour intérieure plantée, récupération des eaux pluviales pour irrigation.

MOA: Canton de Vaud

Équipe de maîtrise d’œuvre :         -Filippini et Associés Architectes mandataire   
-SBING: BET Structure
-Amstein & Waltert: BET Fluides

Mission: Concours

Année: 2019

Coût: 10′ 400′ 000 € HT

Surface intérieur: 3800 m²

Surface extérieur: 1690 m²

MOA : Ville Fontenay-le-Fleury (78)

Équipe de Maîtrise d’œuvre :

-Filippini & associés Architectes mandataire

-Atelier Phusis: Paysagiste

-OTE: BET TCE et économie

-ALMA: Cuisiniste

Missions :

-Phase concours

-De Base

Année: 2018

Coût: 3′ 800’000 € HT

-Surface Intérieur: 1879 m²

-Surface espace public: 5240 m²

Concours

Le projet de la nouvelle Halle de Marché pour le centre-ville comprend 135 mètres linéaires d’étals et 650 m² de commerces sédentaires, visant à répondre aux nouvelles pratiques et aux tendances de consommation locale. L’aménagement du parvis, du square Fabre Eglantine et des espaces publics menant à la place de l’Hôtel de Ville permettra de redynamiser le centre urbain. L’objectif est de créer un espace public multifonctionnel, intégré dans un aménagement paysager de type “coulée verte“.

L’architecture bio-climatique du projet inclut l’utilisation de puits canadiens, la ventilation naturelle, des protections solaires, ainsi que des sols perméables pour une gestion durable de l’eau. Le projet utilise la maquette numérique BIM niveau 2 pour optimiser la conception et la gestion du chantier.


Plan Masse

Plan du RDC haut et extérieur

Élévations

Coupes

Coupe bioclimatique

Schémas Fonctionnel

Le projet concerne le réaménagement d’un bâtiment industriel, précédemment dédié à la fabrication de fûts métalliques, dans l’objectif d’y accueillir les agriculteurs et professionnels locaux qui se destinent à une agriculture biologique. Au vu de l’importance des volumes existants, difficiles à remanier et à chauffer, nous imaginons de réduire les interventions sur l’enveloppe et de créer “des boites dans la boite” pour y répartir les différentes fonctions. L’espace ainsi fragmenté offre une pluralité d’usages dans l’unanimité conservé du bâtiment initial.

Maître d’ouvrage: Communauté d’Agglomération Seine-Eure

Coût: 2 000 000 € HT

SHON: 10 000 m²

Mission de base

Calendrier: Travaux 2015

Équipe de maîtrise d’œuvre :

ATELIER FILIPPINI – Renato FILIPPINI architecte mandataire

ID+ BET TCE et Économiste

MOA : Ville d’Illkirch-Graffenstaden (67)

Équipe de Maîtrise d’œuvre :

-Filippini & associés Architectes: mandataire

-OTE: BET TCE et économie

-Otélio: BET HQE

-AKOUSTIK: BET Acousticien

Missions :

-De Base + EXE

Année: Livrée en 2015

Coût: 5′ 300’000 € HT

-Surface Intérieur: 2560 m²

Un Symbole Urbain

Restructuration, réhabilitation et extension du Pôle Administratif d’Illkirch-Graffenstaden regroupant l’Hôtel de Ville et le Commissariat de police dans un premier bâtiment et le Centre Social et Administratif dans un second.

Le premier a été agrandit pour démarquer l’entrée et accueillir le public. Ce nouveau volume posé sur l’eau est constitué d’une coque perforée en acier inoxydable aux reflets changeants au gré du ciel et des mouvements. L’enveloppe de l’existant a été doublé d’un mur rideau pariétodynamique qui l’isole et qui préchauffe l’air ventilé de la ventilation double flux pour économiser l’énergie. Ses vitrages sérigraphiés et de mailles inox constituent un affichage dynamique donnant le cachet d’un bâtiment neuf et moderne.

Le second a été relié par une passerelle pour faciliter les flux internes. Le traitement thermique de son enveloppe a été doublé de panneaux composites Alucobond, avec un jeu de calepinage et de couleurs cassant la monotonie d’une barre d’immeuble.

Le projet applique les principes de l’architecture bioclimatique en ce qui concerne l’économie énergétique grâce : Au solaire passif, au mur-rideau pariétodynamique, à la récupération des eaux de pluie pour l’arrosage des espaces verts attenants et aux terrasses végétales accessibles.


Avant

Après


Plan Masse

Plan RDC

Façade

Coupe

Coupe bioclimatique

Coupe de détails

MOA : Ville de Nanterre (92)

Équipe de Maîtrise d’œuvre :

-Filippini & associés Architectes: Mandataire

-I.P.H ingénieurie : BET TCE et Économie

Missions :

-De Base

-Paysage

Année: Livré en 2015

Coût: 2′ 500’000 € HT

-Surface Halle: 1000 m²

Un bâtiment multi-usage

Réhabilitation et extension du centre de loisirs sans hébergement (ALSH) pour les enfants de 6 à 12 ans du quartier Petit Nanterre. Création d’une extension (Salle de Quartier) destinée à accueillir différents types de manifestations, réunions publiques, spectacles, initiatives collectives.

De forme rectangulaire avec des hauteurs variables dues à sa toiture à pentes alternées le bâtiment est implanté sur un terrain d’une superficie de 6800 m².

Le projet applique les principes de l’architecture bioclimatique en ce qui concerne l’économie de l’énergie grâce au solaire passif et à l’écogestion de l’eau. L’air entrant dans le système de ventilation double flux à récupération d’énergie est préchauffé par le passage dans une serre pédagogique exposée plein Sud selon le principe pariétodynamique. Ce système permet une économie importante en évitant de chauffer pendant la mi-saison. Le bâtiment possède également des planchers chauffants et une enveloppe très performante. Un compost est installé dans le jardin pédagogique afin de transformer les déchets organiques et l’eau de pluie est récupérée pour l’arrosage des espaces verts.



Plan Masse

Plan RDC

Façade principale

Coupes

Axonométrie d’étude

La réhabilitation de l’immeuble Henri IV (1870) comporte de multiples objectifs: Accueillir l’Office de Tourisme au rez-de-chaussée; aménager les espaces muséographiques au 1er étage et l’atelier d’arts plastiques, tout en mettant en valeur l’apothicairerie; loger une partie des activités de la Maison des Associations au 2ème étage et enfin réhabiliter et sécuriser le sous-sol de façon à y abriter les réserves du musée. La philosophie d’intervention a été celle de restaurer et de mettre en valeur l’architecture et les ambiances existantes tout en insérant des éléments résolument contemporains. Les choix faits pour optimiser ces deux aspects n’entrent pas en contradiction mais se renforcent mutuellement. Parallèlement, les aspects fonctionnels et techniques ont eu une grande importance, l’architecture étant déjà fortement marquée. Production de chaleur/rafraîchissement au moyen d’une pompe à Chaleur réversible à Volume de Réfrigérant Variable et à récupération de chaleur (son COP peut atteindre 4,3). Ventilation double flux pour tous les locaux, maîtrise de la température et de l’hygrométrie pour les salles du musée et des réserves. Utilisation de matériaux écologiques. Réalisation d’un chantier propre.

Maître d’ouvrage: Ville de Saint Germain en Laye Coût: 1 800 000 € HT SHON: 850 m² Mission de base + OPC Calendrier: Inauguration 30 mai 2018 Etudes en cours Equipe de maîtrise d’œuvre : ATELIER FILIPPINI architecture et scénographie ID+: BET TCE Maurice VIRTZ: Economie

MOA : Ville de Paris (75) – Direction du Patrimoine et de l’Architecture

Équipe de Maîtrise d’œuvre :

-Filippini & associés Architectes: Mandataire

-SHL Ile-de-France: BET TCE et économie

-ORFEA : BET acoustique

Missions :

-De Base

Année: Livré en 2010

Coût: 4′ 150’000 € HT

-Surface Halle: 1500 m²

Mise en Lumière

Dans le quartier d’Aligre, l’opération concerne deux bâtiments, dont un à valeur patrimoniale, pour la création d’un équipement à vocation culturelle, sportive et associative. L’établissement abrite une salle de danse, deux salles de musique avec régie, des salles polyvalentes, salle d’arts plastiques et des bureaux.

Le schéma en plan est simple, deux ailes reliées par un volume charnière.
Le bâtiment protégé, ayant pignon sur rue, constitue un repère urbain et nous avons adopté une démarche de conservation et de restauration, tout en prenant en compte les adaptations nécessaires à l’intégration des éléments du programme et les réseaux techniques.

La façade au fond de la cour est doublée par un mur en verre sérigraphié qui intègre de simples volumes rectangulaires. Il est positionné en port à faux par rapport à la façade existante afin de créer des circulations à chaque étage – ce choix permet de dégager les surfaces des salles autrement trop étroites. Cette transparence conforte l’intention d’ouverture et d’échange avec le quartier.

Ces parois/écrans sont utilisés comme outil de communication ; porteurs d’images projetées depuis l’intérieur, ils sont un moyen d’affichage vers l’extérieur les activités de la Maison.
Ils participent au projet de mise en lumière, de manière « scénographique »
Pareillement, un projet d’éclairage spécifique est prévu dans le volume des coursives, avec la possibilité de mise en lumière colorée.

Les matériaux utilisés sont à la fois simples avec un effet recherché. Les sols en béton ciré, parquet bambou, des panneaux bois rainurés pour la correction acoustique de certaines salles, des faux plafonds démontables pour la partie intéressée par le passage des gaines.
Coté Terrain d’Education Physique, une façade végétale sur câbles inox habille le pignon aveugle des logements contigus.


Avant – Après


Plan Masse

Coupe et façade

Détails du mur rideau

MOA : Ville Montreuil (93)

Équipe de Maîtrise d’œuvre :

-Filippini & associés Architectes: Mandataire

-Jacco Kalfsbeek architecte cotraitant

-EICP: BET TCE

-Général Acoustics: BET acoustique

Missions :

-De Base

-EXE

Année: Livré en 2009

Coût: 1′ 700’000 € HT

-Surface intérieur: 800 m²

-Surface extérieur: 600 m²

Créer une identité

Restructuration et extension d’une crèche municipal afin d’augmenter sa capacité d’accueil pour la porter à 80 berceaux. L’établissement, sur deux niveaux, prévoit la cohabitation de deux structures dont une en multi accueil. La crèche est installée au rez-de-chaussée et au premier étage d’un immeuble d’habitation construit dans les années 70

Le projet propose un traitement spécifique de l’angle de l’îlot et l’aménagement des limites de propriété par un jeu de niveaux et murs de clôtures. En plaçant l’entrée extérieure du site à l’angle du terrain, une nouvelle perception de l’équipement est proposée. Arrivé à l’intérieur du site, l’entrée principale de la crèche est joignable par le biais d’un petit itinéraire à travers les espaces de jeux et jardins des enfants.

Les nouveaux volumes, en structures légères, sont traités différemment: coté Sud avec une approche plus «urbaine» (acier et Trespa) en continuité avec les façades sur rue; coté Est, les extensions sont traitées comme des volumes en bois largement vitrées sur les jardins et ombragés par deux grands platanes existants.

Cette diversité de volumes, de couleurs et de matériaux permet de créer un univers intime et varié, adapté à l’échelle des petits usagers. Une terrasse de jeux d’eau a été créée coté Sud, abritée et protégée de la rue Douy Delcupe par un mur écran réalisé en béton matricé avec matrices reprenant les tiges de bambou.

Le traitement de la façade côté Ouest, est plutôt végétal. On y découvre un univers de jardin constitué de matériaux tels que le bois, la terre et le verre. Un petit volume réalisé en bardage de bois naturel se trouve au milieu du jardin, permettant de délimiter les différents espaces d’usage des sections respectifs. Ce volume sert aussi d’abris pour l’entreposage des jeux extérieurs. Ce volume non–clos, offre par ailleurs un accès direct au jardin aux usagers de l’étage à travers d’une passerelle et d’un escalier bois, servant d’issue de secours accessoire.

L’architecture du bâtiment retrouve une identité propre, permettant d’identifier la spécificité d’usage de cet équipement public

Les aménagements intérieurs ont été soignés, en particulier pour ce qui concerne le traitement des faux plafonds, réalisés en plaque de plâtre avec perforations aléatoires, et enrichis par un jeux de « vagues » à différentes hauteurs qui contribuent à dynamiser et varier des surfaces autrement trop rigides



Plan RDC

Façade

Coupe